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La Ville et l’Eurométropole de Strasbourg ainsi que ses partenaires de Saverne et sa périphérie mais aussi des acteurs scientifiques, universitaires et médicaux du Grand Est ont unis leurs forces pour proposer à l’Etat un nouveau schéma d’innovation en santé.
Ce dossier, intitulé « Territoire de santé de demain », a permis d’identifier de nouvelles solutions à apporter aux citoyens dans un futur proche et c’est pour cette raison que nous souhaitons aujourd’hui savoir quel est votre ressenti et quels objectifs pouvons-nous atteindre ensemble.
Merci de prendre quelques minutes pour remplir ce questionnaire, entièrement anonyme, qui nous aidera à structurer la démarche et à répondre au mieux aux attentes des citoyens que nous servons.
Participez au salon MEDTEC LIVE – le salon des medtech – du 21 au 23 mai 2019 à Nuremberg sur le stand de Strasbourg !
Dans le cadre de la signature de la convention économique entre l’Eurométropole de Strasbourg et la Ville de Regensburg en juin 2018, les synergies bilatérales se poursuivent concrètement. C’est ainsi que l’Eurométropole de Strasbourg a décidé de participer à la 1ère édition du Salon Medtec Live sur un stand conjoint avec « Healthcare Regensburg ».
Medtec Live est le plus important salon commercial pour les fabricants européens de produits médicaux. Il offre une occasion unique d’être pleinement informé sur la gamme actuelle de produits et de services dans le domaine du développement et de la fabrication de dispositifs médicaux.
Medtec Live réunit des spécialistes et décideurs de fabricants de dispositifs médicaux de tous les pays d’Europe.
Ce salon vous fournira des informations sur l’ensemble de la chaîne de valeur, des prototypes et de la production aux processus en aval. Vous aurez une vision à 360° de tout le secteur !
Alors profitez de l’initiative de l’Eurométropole de Strasbourg et bénéficiez ainsi de conditions tarifaires préférentielles pour être présents sur le salon. Nous disposerons d’un stand de 17 m2 avec présentoirs, écran plasma, canapés et tables basses pour les r-v B to B….
Conditions de participation : 300 € / société (les nuitées, transport et défraiements sont à votre charge).
Sont compris dans ces 300 € :
L’entrée au salon
La présence de votre logo sur le stand
Vos brochures sur les présentoirs
Votre film corporate (ou slides de présentation de votre société) en défilement continu sur l’écran plasma
La possibilité d’organiser vos r-v B to B sur le stand
La participation aux moments de convivialité sur le stand
Le nom de votre société citée dans l’annuaire global des exposants
La mise en place d’un kakémono sur le stand
Sachez également que sur toute la durée du salon se tiendra « un summit » (espace conférence, programme en PJ) pour lequel un surcoût de 540 € pour 3 jours ou 330 € / 1 journée est demandé. Ceci vous donnera droit d’assister aux conférences et à l’accès meet & match. Vous pouvez également ne payer que le meet & match pour 150 €. Nous nous tenons bien évidemment à votre disposition pour évoquer les différentes possibilités.
Nous vous indiquons ci-après les hôtels que nous préconisons pour que vous ayez une estimation des tarifs (hôtels près de la gare pour être à quelques arrêts de métro du salon (sans changement) et encore disponibles pour toute la durée du salon) :
Nous espérons avoir suscité votre intérêt pour participer avec l’Eurométropole de Strasbourg à ce salon et si tel devait être le cas, nous vous remercions de bien vouloir nous le faire savoir par retour de mail à l’adresse anais.schambil@strasbourg.fr avant le 10 mars.
Notre délégation sur le stand sera composée d’un élu de l’Eurométropole de Strasbourg, d’Agnès LEGOLL (Directrice des Relations Internationales de Biovalley France), de Patricia HATESUER (Chef de projet de l’Agence d’Attractivité d’Alsace) et d’Anaïs SCHAMBIL (Responsable Marketing et Communication Nextmed auprès de l’Eurométropole de Strasbourg) et bien entendu des entreprises qui souhaitent se joindre à nous.
Le Docteur Laurent Schmoll, oto-rhino-laryngologiste Strasbourgeois, dépose son premier brevetà l’origine duSmart Scope, en 2013. Depuis, il n’arrête plus d’innover pour se positionner en facilitateur de son métier, mais aussi ceux de ses confrères afin d’améliorer le quotidien des patients.
Le docteur Schmoll exerce son métier depuis plus d’une vingtaine d’année lorsqu’il a l’idée d’un endoscope miniature, à coupler avec un smartphone, toujours plus performant. A partir de là, il va nouer de nombreux partenariats, jusqu’à son dernier projet en télémédecine auprès d’un public bien précis : les EHPAD.
Le système optique breveté par le Docteur Schmoll, le Smart Scope, matérialise la plus petite colonne endoscopique du monde. Elle permet de faire des photos avec une très bonne définition des tympans en particulier. En 2015, le Docteur Schmoll accorde une licence exclusive à l’industriel allemand Karl Storz, qui, en 2017, en a vendu plus de 1.500 à travers le monde. Ce Smart Scope est, en moyenne, 10 fois moins cher qu’une colonne endoscopique classique de consultation (10 à 15 000€). Le docteur Schmoll nous explique :
“Des smartphones, il s’en vend 1.5 milliard par an tous constructeurs confondus. La qualité optique des caméras progresse à chaque génération et sans doute aurons-nous bientôt des smartphones avec des écrans 3D »
De l’endoscope à l’application web : i-Nside
Après l’utilité avérée du Smart Scope, le Docteur Schmoll a voulu aller un cran plus loin, en proposant, via un algorithme d’intelligence artificielle, une application permettant de repérer, avec une excellente fiabilité, un certain nombre de maladies des tympans. De là est née l’application i-Nside, disponible sur iOS, capable de détecter, grâce à une base de donnée de 100 000 images de tympans, de nombreuses pathologies. Associée à la startup américaine Clarifai, spécialisée en deep learning l’application i-Nside propose un diagnostic (otite, perforation, bouchon,…) à partir d’une simple photo. Cette application, pourrait également, si on lui fournit les bases de données images, être appliquée aux domaines de l’ophtalmologie, de la radiologie, ou encore de l’histologie (étude des tissus). Le Docteur Schmoll nous le rappelle :
“L’oeil humain voit 10 nuances de gris tandis qu’un ordinateur en perçoit 100 ainsi que de nombreux autres détails, cela signifie qu’à terme l’analyse des images sera systématiquement confiée aux machines.”
Cette application a pour objectif de remplacer le médecin ORL dans les zones non médicalisées de la planète. Le Smart Scope et l’application utilisés par une infirmière pourraient s’avérer d’une grande aide pour certaines ONG. Pour mémoire, chaque année 800 millions d’otites sont détectées dans le monde dont 20 000 conduisent au décès (certaines otites non soignées dégénérant en méningites).
Le seul écueil pour la diffusion de cette application est le coût des certifications et marquages (FDA et CE), environ 400 000€. Seule une fondation, comme celle de Bill Gates, qui apporte de l’aide médicale dans les zones les plus reculées de la planète pourrait prendre en charge les coûts de certification.
Dernier point fort de cette application : elle ne nécessite pas de connexion internet et ne pèse que 500Mo. Ainsi est elle totalement autonome une fois chargée dans un smartphone.
De l’application à la télé-médecine : TokTokDoc
Cette possibilité de réaliser un diagnostic à distance permet de soulever un enjeu important : la télémédecine et plus particulièrement le suivi des patients en EPHAD. En effet, le ministère souhaite que d’ici la fin 2020 tous les EPHAD puissent être équipés en télémédecine. Il existe une bonne raison pour cela. Sur les quelques 800 000 résidents en EPHAD en France, la moitié, soit 400 000 personnes passent un séjour hospitalier de 20 jours en moyenne par an, pour coût unitaire de 21 000 euros soit un coût de plus de 8 milliards d’euros.
Il a été constaté qu’en suivant, grâce à la télémédecine, de façon plus régulière ces patients, il était possible d’éviter 50% de ces hospitalisations soit environ 4 milliards d’économies potentielles à qualité de soins égales voir supérieure.
Voilà pourquoi le Docteur Schmoll a développé un service de télémédecine, TokTokDoc, qui est à l’heure actuelle déployée dans plus de 110 EPHAD sur le territoire national. 60% des EHPAD équipés de la solution TokTokDoc sont situés dans le Grand Est. Grâce à une collaboration avec SOS Médecins, certains EHPAD, situés dans l’Eurométropole, bénéficient de la Permanence Des Soins, grâce à la télémédecine, la nuit et les week-end de nuit.
Le service TokTokDoc comprend une tablette mobile et un stéthoscope connecté pour l’examen des patients. Mais attention :
“la télémédecine vient en complément de la médecine physique, elle n’a pas vocation à remplacer le contact humain“
nous rassure le Docteur Schmoll. L’application permet une mise en situation du patient dans la même configuration qu’en consultation présentielle. Le patient pénètre avec l’infirmière dans une salle d’attente virtuelle. Par l’intermédiaire d’une tablette l’infirmière à son chevet transmet des images (scanners, examens sanguins etc…) au médecin à distance, lequel est derrière son ordinateur. L’infirmière utilise le stéthoscope et le médecin ausculte ainsi à distance le cœur et les poumons. Au cours de la téléconsultation, le médecin rédige les ordonnances en direct et le personnel soignant peut immédiatement les télécharger, imprimer et délivrer le traitement au patient.
Au niveau de la sécurité des données, le serveur est sécurisé et aucune donnée n’est conservée hormis le nom-prénom et le numéro de sécurité sociale, données imposées par l’ARS pour permettre une traçabilité des échanges.
Aujourd’hui la CNAM autorise des consultations dans toutes les spécialités médicales mais tous les actes ne peuvent, bien entendu, pas être réalisés à distance. TokTokDoc recrute des professionnels de santé de toutes spécialités qui s’engagent à mettre à sa disposition des plages horaires réservées aux téléconsultations. Les consultations médicales sont payées aux médecins et les patients sont remboursés, par l’assurance maladie, sur les mêmes bases que les consultations en présentiel.
A l’heure actuelle, 4 à 6 téléconsultations ont lieu par semaine et par établissement, mais ce chiffre est en constante progression et s’adapte aux besoins des résidents. Le coût pour cet outil ? Environ 5 000 euros par an / établissement.
Et la suite …?
Le développement de la télémédecine à domicile, dans les déserts médicaux en France, représente un besoin sanitaire qu’il est important de combler notamment avec une population vieillissante. En lien avec différentes associations qui maillent le territoire, TokTokDoc développe de nouvelles solutions adaptées aux besoins médicaux. Les maisons de santé, les résidences seniors mais aussi les prisons (ndlr : le coût du transport prison-médecin pour un détenu est estimé à 800€) et les pharmacies sont autant de futurs objectifs de développement pour un service qui répond à un manque et qui ne cesse de grandir.
Vendredi 14 septembre, la SERS a officiellement été désignée comme opérateur pour réaliser et gérer le futur Technoparc, 30 000m² de bureaux à destination des entreprises en santé, sur le site Nextmed.
Nextmed, le campus des technologies médicales, a ainsi vocation à regrouper dans un même périmètre tous les acteurs et métiers, œuvrant à l’émergence de dispositifs ou produits médicaux de pointe, de leur conception à leur application en passant par leur mise sur le marché.
A ce jour, plus d’un milliard d’euros publics et privés ont été investis en constructions, équipements, projets en R&D sur l’ensemble du site (33 hectares) créant ainsi plus de 1000 emplois depuis 2012.
Ce vendredi 14 septembre 2018, avec l’entrée du Technoparc dans sa phase opérationnelle, une nouvelle étape s’ouvre pour Nextmed. En effet,cette emprise d’1.5 hectare, qui vise à accueillir des grands groupes mais aussi des startups du domaine de la santé, a été concédé à la SERS, pour une durée de 15 ans.
A charge pour ce concessionnaire d’assurer le portage global – opérationnel et financier – de l’opération, jusqu’à son terme, en 2033. Il s’agira ainsi pour lui d’aménager le site, de réhabiliter et étendre les bâtiments ORL et Blum à préserver, de commercialiser les surfaces à louer ainsi que les terrains à construire destinés à accueillir des bâtiments neufs, d’assurer la gestion locative, et d’animer le site. Un dispositif aussi complet en matière de missions est une première en France.
Une concession inédite en France
Les bâtiments existants restent pleine propriété de l’Eurométropole qui, au terme de la concession, aura la possibilité d’adopter des solutions de gestion pertinentes à l’instant T. Durant la concession, l’Eurométropole sera intégrée aux différentes instances techniques et décisionnelles du projet, aux côtés de la SERS et de son équipe : là aussi, une innovation, si l’on compare cette gouvernance aux concessions « classiques ».
@ J. Dorkel pour l’EMS / Le bâtiment ORL
SERS : construire, aménager, gérer !
Depuis sa création en 1957 pour aménager le quartier de l’Esplanade à Strasbourg, la SERS a pour vocation d’accompagner et de mettre en oeuvre les projets de développement élaborés par les instances politiques locales. Le statut de Société d’Economie Mixte de la SERS est l’une des clés de la réussite de cette démarche. Dans la gestion de son activité, la SERS s’appuie sur les principes de dynamisme, de rigueur et de compétitivité du secteur privé, assumant l’ensemble des risques qui y sont liés. Ses compétences et la qualité de ses réalisations font de la SERS un acteur déterminant de l’action politique locale, un partenaire privilégié des entreprises de la région.
Proche des élus et des collectivités locales, la SERS mène ses actions dans le respect de l’intérêt général et s’adapte à l’évolution de la société en prenant en compte pour chaque projet les nouveaux enjeux sociaux, économiques et environnementaux liés au développement durable.
Le Technoparc : l’innovation sur un site hospitalier, au plus près des patients
Le Technoparc accueillera à terme des entreprises de toutes tailles dédiées aux technologies médicales. L’une de ses spécificités majeures, voulue par l’Eurométropole, sera de proposer des surfaces dont le niveau de loyer sera proportionnel au degré de maturation des sociétés.
Ce dispositif doit permettre un accompagnement progressif des startups et des petites entreprises. 1,48 hectare d’emprise foncière sera aménagé sur la base d’un plan d’ensemble réalisé, autour d’un urbaniste, par une équipe pluridisciplinaire – en cours de recrutement.
30.000 m² de bâtiments seront à aménager, dont 20.000 m² de surfaces neuves qui devraient probablement être construits en plusieurs tranches opérationnelles.
10.000 m² seront disponibles dans les bâtiments ORL et Blum, réhabilités et étendus.
Le pavillon ORL, construit en 1914, sera réhabilité et agrandi jusqu’à pouvoir contenir, sur une surface de 8500 m², laboratoires et bureaux de différentes tailles.
Le pavillon Blum, bâti en 1921, à l’architecture emblématique, sera également préservé et restauré pour offrir un espace de 1.500 m²
Financements du Technoparc : combien ça va coûter ?
L’opération d’aménagement est aux risques et périls du concessionnaire. Elle devrait s’équilibrer autour d’un volume de recettes et de dépenses de 39 M€. Elle se financera en particulier par la commercialisation des charges foncières et les recettes locatives des surfaces réhabilitées.
L’Eurométropole de Strasbourg assure une participation, avec un versement à hauteur de 7 M€ et un rachat des deux anciens bâtiments ORL et Blum, à l’issue de la concession à hauteur de leur valeur non amortie, soit environ 17 M€.
Les travaux d’infrastructures devraient se chiffrer à 800.000€ HT tandis que la réhabilitation des deux pavillons historiques est estimée à environ 17 M€ HT. La SERS, en partenariat avec la Banque des Territoires (Caisse Des Dépôts et Consignations), entend créer prochainement une société de projet dédiée afin de mener à bien l’opération.
Calendrier de livraison du Technoparc
Mi-2021 : bâtiment ORL Début 2022 : Pavillon BLUM Mi-2022 : bâtiment neuf tranche 1 Début 2025 : bâtiment neuf tranche 2 Début 2028 : bâtiment neuf tranche 3
Retour en images sur le lancement officiel le 14 septembre 2018
A l’occasion de la seconde édition du France Tech Transfer Invest (FTTI) qui s’est déroulée à Paris la semaine dernière, la start-up strasbourgeoise ID-NEST MEDICAL s’est classée parmi les cinq finalistes au niveau européen, et a décroché la première place dans la catégorie très prisée des « Technologies médicales ». Un véritable coup d’accélérateur pour cette pépite alsacienne.
Créée en 2014 sous l’égide de Nabil Chakfé, Chef du Service de chirurgie vasculaire et de transplantation rénale au sein du Nouvel Hôpital Civil de Strasbourg, la start-up ID-NEST MEDICAL propose des dispositifs médicaux pensés par des chirurgiens vasculaires pour des chirurgiens vasculaires. L’objectif : adapter l’endoprothèse vasculaire à l’anatomie du patient, et non l’inverse. Cette technologie innovante en matière d’implants vasculaires permettrait en effet de mieux gérer les angles et bifurcations des voies veineuses, mais également de mieux traiter les compressions et thromboses veineuses sévères des membres inférieurs, sans oublier les anévrismes et dissections de la crosse aortique.
Il s’agit là d’une innovation de rupture sur un marché international à très fort potentiel. La preuve en Europe et aux Etats-Unis, dont le marché total est estimé à 1,2-1,4 milliards d’euros.
En plus de contacts prometteurs avec trois nouveaux investisseurs, la start-up a également recueilli le soutien de plusieurs chirurgiens vasculaires de renommée internationale opérant aux Etats-Unis, en Angleterre, en Irlande, en Espagne et en France.
Soutenue par la SATT Conectus, ID-NEST MEDICAL a aujourd’hui finalisé son prototype, et grâce à sa levée de fonds en finalisation, ambitionne le marquage CE sous 18 mois afin de pouvoir lancer la commercialisation de ses premiers implants.
La prochaine étape ? L’European Venture Summit en décembre prochain, auquel la start-up va avoir l’opportunité de participer en qualité de finaliste du FTTI.
Proposant une approche à 360° et première convention d’affaires dédiée aux medtech, MedFIT a pour ambition de créer des partenariats d’innovation, sourcer des opportunités de licensing et accélérer l’accès au marché des innovations en medtech. Après Grenoble, c’est à Strasbourg que sera organisée la seconde édition de MedFIT les 26 et 27 juin 2018 !
Les medtech, un secteur en mutation
Le secteur des technologies médicales connaît une indéniable accélération en termes d’application des principes de l’innovation partenariale.
En effet, les connaissances à maîtriser afin de développer de nouveaux produits se complexifient, du fait de l’innovation continue des dispositifs médicaux innovants. Désormais, on observe une répartition des tâches entre start-up, grands groupes et instituts de recherches académiques. Les grands groupes sourcent de plus en plus les innovations à l’extérieur de leur propre organisation, c’est-à dire brevets, technologies et savoir-faire qui sont désormais développés par le secteur académique et les jeunes entreprises innovantes. Dans ce contexte particulier, MedFIT se positionne comme la première convention d’affaires européenne dédiée à l’innovation partenariale dans le secteur des technologies médicales.
L’innovation partenariale placée au coeur de l’évènement MedFIT
Parmi les 600 participants attendus, 50% d’acteurs internationaux auront pour objectif d’engager de nouveaux partenariats, favoriser l’émergence de projets R&D entre start-up, industriels et académiques, intensifier le flux de licences et accélérer la mise sur le marché des innovations.
Le programme 2018
4 temps forts seront proposés pour cette édition :
Une convention d’affaires permettant d’organiser des rendez-vous préqualifiés,
Des tables rondes et conférences traitant des bonnes pratiques en matière de recherche collaborative, du financement de l’innovation, de réglementation et de l’accès au marché des innovations,
Des sessions de présentations promouvant les start-up innovantes,
Une exposition pour augmenter la visibilité des participants, networker et mettre en valeur les produits, services et innovations.
Des tarifs spéciaux sont proposés aux acteurs implantés dans le Grand Est, ainsi que des tarifs Early Bird jusque fin janvier.
A l’occasion de sa sixième édition, la convention d’affaires européenne BioFIT est revenue à Strasbourg les 28 et 29 novembre derniers, au Palais de la Musique et des Congrès. Retour en quelques lignes sur le succès de ce congrès qui prend plus d’ampleur chaque année !
Une manifestation française reconnue à l’international
Rendez-vous incontournable pour les acteurs des Sciences du Vivant, elle permet de sourcer les innovations précoces, favoriser les collaborations entre milieux académique et industriel tout en apportant des clés afin de mieux appréhender l’actualité du secteur. BioFIT est devenue la manifestation française la plus importante de cette filière, dont la dimension internationale est la plus marquée parmi les évènements en rapport avec cette thématique organisés en France. En effet, avec plus de 50% de participants étrangers, BioFIT favorise indéniablement la reconnaissance du territoire eurométropolitain en termes de Sciences du Vivant par les acteurs internationaux de la filière.
Un programme riche et dynamique, entre rendez-vous d’affaires et workshops
Organisé par Eurasanté, en partenariat depuis 2015 avec le Pôle Alsace BioBalley et la SATT Conectus, alternant entre Lille et Strasbourg, BioFIT propose des rendez-vous d’affaires, des conférences spécialisées, un espace d’exposition, des présentations orales de start-up et d’opportunités de licensing issues de l’académique. Workshops, réunions, congrès et conférences à vocation nationale et internationale ont également été portés par des personnalités internationales durant les deux jours de conférence.
Le programme de l’édition 2017 s’est articulé autour de 3 axes principaux :
La mise en valeur de bonnes pratiques pour sourcer, évaluer et financer des innovation early stage,
Le développement de partenariats entre industriels de la santé et secteurs connexes,
L’actualité et les tendances en matière d’investissement, de capital d’amorçage et de capital-risque en Santé et Sciences du Vivant.
Strasbourg, une ville hôte de choix pour BioFIT
Strasbourg se positionne une fois encore comme une ville hôte d’exception pour l’accueil du congrès BioFIT, grâce à sa densité d’acteurs d’excellence dans les domaines des Sciences du Vivant et de la santé avec pas moins de 7 Prix Nobel, 3 Universités de premier plan, des instituts de recherche de renommée mondiale et plus de 600 entreprises, de la start-up innovante au géant pharmaceutique.
Biofit 2017 en chiffres clés, ça donne :
1200 participants (contre 1100 en 2016)
800 organisations présentes (contre 750 en 2016)
30 pays représentés
2700 rendez-vous personnalisés (contre 2000 en 2016)
15 conférences et tables rondes
Plus de 1000 opportunités de licensing
80 intervenants
100 exposants (contre 90 en 2016)
Rendez-vous pour la prochaine édition de BioFIT à Strasbourg en décembre 2019 !
La démarche partenariale de l’Eurométropole de Strasbourg pour devenir un Territoire d’Innovation de Grande Ambition a su séduire le jury : après plusieurs mois de travail collectif, la candidature de l’Eurométropole a été sélectionnée ! Le Président de l’Eurométropole Robert Herrmann a reçu ce jour un courrier du Premier Ministre, annonçant que le dossier était officiellement retenu, avec l’attribution pour cette année d’une enveloppe de 400 000 €.
Les atouts de l’Eurométropole auront fait pencher la balance : son approche multisectorielle et territorialisée lui a permis de se distinguer. L’union aura fait la force : le dossier de l’Eurométropole intitulé « la santé en mouvements, une ambition partagée » est le fruit d’un véritable travail collectif mené par un ensemble de partenaires territoriaux : l’Hôpital, l’Union régionale des médecins libéraux, l’institut hospitalo- universitaire, l’Université de Strasbourg, le pôle de compétitivité Alsace Biovalley, l’Agence régionale de santé, la Ville de Strasbourg, le Conseil départemental du Bas-Rhin, la Région Grand Est, l’entreprise Docapost engagent des moyens humains et financiers dans le projet ; de nombreux autres partenaires sont mobilisés (France Assos Santé, la startup Facilien, l’ABRAPA, la SATT, l’association Siel Bleu, la CPAM…)
Vingt dossiers sur 116 ont ainsi été sélectionnés et seront soutenus financièrement dans l’optique de préparer l’appel à projet 2018… qui n’en retiendra que dix.
« La santé en mouvements, une ambition partagée » aura su convaincre à plusieurs égards. D’abord par la clarté de la feuille de route ECO2030 qui place l’innovation dans la santé comme priorité de développement. La candidature de l’Eurométropole promeut également une nouvelle définition du patient comme expert, et une implication du citoyen comme ressource d’innovation. Le projet permettra notamment de développer une plate-forme numérique dans l’optique d’une meilleure prévention afin d’éviter les hospitalisations ainsi que le déploiement de nouveaux services innovants (télémédecine, réseaux sociaux de solidarité et de proximité autour des personnes fragiles…)
Strasbourg a toujours été pionnière en matière de santé : elle est devenue une véritable référence en ce qui concerne la promotion de l’activité physique comme outil de prévention, et accueille le plus grand hackhaton d’Europe dans le domaine de la santé (Hacking Health Camp). De plus, l’IRCAD est une référence mondiale dans le domaine de la chirurgie mini-invasive.
L’amélioration de l’état de santé global des habitants, l’accroissement du développement économique ainsi que le renforcement du bien-être de la population s’illustreront par une action de prévention ciblée d’abord sur les plus vulnérables, et plus largement ensuite. Ce sont les possibilités offertes par le numérique et la diffusion de la pratique de l’activité physique qui garantiront la réussite de la vision de l’Eurométropole de Strasbourg. Et surtout, c’est en restant fédérés que nous y parviendrons avec succès !